Pourquoi cette voie spirituelle plutôt qu'une autre ?
Pour avoir une chance d'évoluer sur un Chemin spirituel, le Chercheur doit pouvoir entrer en contact avec un enseignement authentique transmis par un instructeur vivant.
Le premier écueil à éviter : les organismes qui ne possèdent plus de réel pouvoir de transformation, parce que leur enseignement est suranné ou parce qu'il leur manque un véritable instructeur vivant. Dans cette catégorie, vous trouverez bon nombre de religions, de fraternités occultes et ésotériques, de groupements ou communautés nés du chaos new-age (toutes ces organisations ont cependant leurs qualités propres).
Deuxième écueil : les organismes d'origine orientale dont les leaders occidentaux essaient d'implanter une imitation des enseignements reçus. Malheureusement, il leur manque l'essentiel : la force de la transmission liée au niveau d'évolution.
Un troisième écueil lié aux organisations orientales dirigées par un instructeur oriental vivant est la difficulté, voire l'impossibilité, pour un Occidental d'intégrer le mode de vie, de pensée et de ressentir nécessaires pour pouvoir se mettre en résonance avec l'enseignement puisque celui-ci, s'il est vrai, est adapté au temps, au lieu et aux hommes de l'Orient. S'il ne peut remplir ces conditions, le Chercheur occidental risque d'être condamné au rôle d'élève de seconde zone, parce que toute une partie de l'enseignement lui restera étrangère, et "on ne peut entrer au paradis en boitant ou en étant borgne" (Maître de Faria).
Il faut également savoir que beaucoup d'organisations possèdent une connaissance théorique, mais ne peuvent mettre en œuvre les techniques nécessaires, alors que d'autres possèdent toutes sortes de techniques mais n'ont pas les connaissances adaptées.
Alors que faire ? Notre conseil est celui-ci : informez-vous, faites une investigation sérieuse sans vous laisser séduire par certaines apparences parfois illusoires, ni vous laisser rebuter par d'autres tout aussi trompeuses.
Le Chemin spirituel ne peut être que l'aboutissement d'une démarche essentiellement individuelle, même si elle se fait au milieu des autres et du monde, et il n'est pas un produit de consommation, bien que l'Occident, à la suite du mouvement du Nouvel Age, essaie de le récupérer médiatiquement, économiquement, socialement et financièrement.
Il est impossible d'atteindre la réalisation ou la Vérité à travers des théories psychologiques ou spirituelles anciennes. En effet, la Voie a ses exigences : il lui faut une Ecole dirigée par un instructeur vivant qui possède une parfaite connaissance et une réelle pratique du Chemin afin de guider l'élève dans une utilisation juste des connaissances et des moyens qui lui sont enseignés. Une Ecole suppose également un nombre suffisant d'élèves ayant les mêmes intentions. Ce n'est que si ces conditions sont remplies qu'un homme peut espérer passer de l'état d'ignorance à celui d'homme conscient.
Hélas, la plupart des chercheurs ignorent tout de ces conditions et cherchent à leur façon, s'essayant à un chemin puis à un autre parmi les meilleurs et les pires. Ils imaginent même acquérir ainsi des connaissances et évoluer. Hors des conditions évoquées, il n'en est rien : tout n'est qu'illusion, malgré les prétentions des individus à la Connaissance.
Pour avoir la moindre chance d'évoluer, un homme doit comprendre ce qui précède, puis travailler à se libérer de ses conditionnements, mécanismes et automatismes, enfin travailler à élargir sa conscience et tout cela au service des autres et de l'évolution de l'humanité.
Imaginer qu'on puisse atteindre la Vérité suprême par les moyens de la vie ordinaire est une des inepties les plus communément répandues autant parmi les hommes ordinaires que parmi les soi-disant chercheurs spirituels tant que ceux-ci n'ont pas été informés des conditions ci-dessus. Parfois, on s'imagine que la Vérité peut être un bien commun, même un droit naturel. Il n'en est rien car on ne peut atteindre les sommets de la Connaissance qu'en s'y élevant par son travail et non par droit naturel ou par don naturel. C'est ainsi que le sacré se protège lui-même.
Le premier écueil à éviter : les organismes qui ne possèdent plus de réel pouvoir de transformation, parce que leur enseignement est suranné ou parce qu'il leur manque un véritable instructeur vivant. Dans cette catégorie, vous trouverez bon nombre de religions, de fraternités occultes et ésotériques, de groupements ou communautés nés du chaos new-age (toutes ces organisations ont cependant leurs qualités propres).
Deuxième écueil : les organismes d'origine orientale dont les leaders occidentaux essaient d'implanter une imitation des enseignements reçus. Malheureusement, il leur manque l'essentiel : la force de la transmission liée au niveau d'évolution.
Un troisième écueil lié aux organisations orientales dirigées par un instructeur oriental vivant est la difficulté, voire l'impossibilité, pour un Occidental d'intégrer le mode de vie, de pensée et de ressentir nécessaires pour pouvoir se mettre en résonance avec l'enseignement puisque celui-ci, s'il est vrai, est adapté au temps, au lieu et aux hommes de l'Orient. S'il ne peut remplir ces conditions, le Chercheur occidental risque d'être condamné au rôle d'élève de seconde zone, parce que toute une partie de l'enseignement lui restera étrangère, et "on ne peut entrer au paradis en boitant ou en étant borgne" (Maître de Faria).
Il faut également savoir que beaucoup d'organisations possèdent une connaissance théorique, mais ne peuvent mettre en œuvre les techniques nécessaires, alors que d'autres possèdent toutes sortes de techniques mais n'ont pas les connaissances adaptées.
Alors que faire ? Notre conseil est celui-ci : informez-vous, faites une investigation sérieuse sans vous laisser séduire par certaines apparences parfois illusoires, ni vous laisser rebuter par d'autres tout aussi trompeuses.
Le Chemin spirituel ne peut être que l'aboutissement d'une démarche essentiellement individuelle, même si elle se fait au milieu des autres et du monde, et il n'est pas un produit de consommation, bien que l'Occident, à la suite du mouvement du Nouvel Age, essaie de le récupérer médiatiquement, économiquement, socialement et financièrement.
Il est impossible d'atteindre la réalisation ou la Vérité à travers des théories psychologiques ou spirituelles anciennes. En effet, la Voie a ses exigences : il lui faut une Ecole dirigée par un instructeur vivant qui possède une parfaite connaissance et une réelle pratique du Chemin afin de guider l'élève dans une utilisation juste des connaissances et des moyens qui lui sont enseignés. Une Ecole suppose également un nombre suffisant d'élèves ayant les mêmes intentions. Ce n'est que si ces conditions sont remplies qu'un homme peut espérer passer de l'état d'ignorance à celui d'homme conscient.
Hélas, la plupart des chercheurs ignorent tout de ces conditions et cherchent à leur façon, s'essayant à un chemin puis à un autre parmi les meilleurs et les pires. Ils imaginent même acquérir ainsi des connaissances et évoluer. Hors des conditions évoquées, il n'en est rien : tout n'est qu'illusion, malgré les prétentions des individus à la Connaissance.
Pour avoir la moindre chance d'évoluer, un homme doit comprendre ce qui précède, puis travailler à se libérer de ses conditionnements, mécanismes et automatismes, enfin travailler à élargir sa conscience et tout cela au service des autres et de l'évolution de l'humanité.
Imaginer qu'on puisse atteindre la Vérité suprême par les moyens de la vie ordinaire est une des inepties les plus communément répandues autant parmi les hommes ordinaires que parmi les soi-disant chercheurs spirituels tant que ceux-ci n'ont pas été informés des conditions ci-dessus. Parfois, on s'imagine que la Vérité peut être un bien commun, même un droit naturel. Il n'en est rien car on ne peut atteindre les sommets de la Connaissance qu'en s'y élevant par son travail et non par droit naturel ou par don naturel. C'est ainsi que le sacré se protège lui-même.